mercredi 25 décembre 2013

Métaphore



Imaginez une stalactite dans une grotte.


Elle s’est formée grâce à d’innombrables gouttes d’eau qui, une par une, pendant des centaines d’années, ont déposé quelques molécules de calcaire. Elle a pu se développer dans cette environnement, sans rien pour la déranger, et devenir de plus en plus forte au long du temps.
Gardez cette image à l’esprit et imaginez maintenant prendre cette stalactite et l’arracher à son socle. Est-ce que vous ressentez cette impression de gâchis provoqué par les conséquences de cette action irréversible ? Le fait d’avoir accompli quelque chose sans jamais pouvoir revenir en arrière ? D’avoir mis fin à un processus millénaire qui s’exécutait minutieusement pour construire cette magnifique stalactite.

Imaginez maintenant le processus d’évolution.


Depuis une toute petite cellule qui se divise, évolue, se reproduit, se transforme et donne naissance à une autre forme de vie. Peu à peu, au cours de millions d’années, chaque être vivant a apporté ses quelques molécules différentes d’ADN au patrimoine génétique, offrant de nouvelles possibilités, de nouvelles branches pour évoluer, jusqu’à donner des hommes.
Et sans être dérangée, cette structure est devenue de plus en plus forte grâce à ses capacités d’adaptation. L’humanité a continué à évoluer dans ce sens, offrant de nouvelles possibilités, chaque être humain apportant ses quelques molécules de connaissance pour faire avancer la structure.
Est-ce que vous voulez participer à cette stalactite ou est-ce que vous voulez participer à son arrachage  ?

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dimanche 1 décembre 2013

Disparition



Se détacher…


Il faut commencer par prendre du recul…éviter les relations émotionnellement importantes, perdre petit à petit toute capacité à l’émerveillement et dépersonnaliser les gens qui nous entourent, les considérer comme des boites noires qui nous donneront toujours la même chose en fonction de ce que l’on y a injecté. Si je lui donne de l’attention et de l’énergie, j’aurais de l’attention en retour, ou de la compassion, de l’empathie, de la pitié, des tentatives pour obtenir plus d’énergie  et d’attention par l’intimidation ou autres stratagèmes.
Et ainsi, toute surprise disparait. Les gens qui nous entourent ne deviennent plus que des machines, des automatismes où il suffit de pousser un bouton, actionner un levier pour obtenir un résultat connu d’avance.
Le besoin de partager disparait puisqu’il ne semble plus que qui que ce soit en face puisse comprendre ou vivre les choses de la même manière.
Le besoin de contact disparait puisque cela ne se résume plus qu’à une multitude de réactions chimiques, prévisibles, connues d’avance.
Toute attente disparait puisqu’il n’y a plus besoin d’attendre…on sait comment arriver à un résultat donné, obtenir ce qu’on veut et combien de temps ça va prendre.

...puis disparaitre…


Mais tout cela se passe à l’intérieur…derrière la façade…
Il ne faut pas disparaitre d’un coup…non…il faut rompre un à un les liens du tissu social et les rattacher ensemble…former plusieurs groupes d’amis, de connaissances… refuser peu à peu les invitations de chacun…ce soir je ne peux pas, je suis chez B…Demain ? il y a un repas chez C… L’objectif est que chaque personne de votre entourage vous voit comme occupé, avec un calendrier plein à ras bord…peu à peu, ils cesseront d’essayer de vous inviter, de penser à vous …vous deviendrez une connaissance lointaine, vivant dans un pays étranger et vous disparaitrez peu à peu dans l’ombre de leurs souvenirs.
De cette manière, ils ne s’inquiéteront pas, ne tenteront pas de vous sauver d’une solitude qui leur paraitrait malsaine. Ils garderont de vous l’image d’une personne occupée, entourée d’amis, toujours en soirée.
De cette manière, les attentes de chacun à votre égard disparaitront.  Ils ne penseront plus à vous lorsqu’ils ont un service à demander, envie d’aller boire un verre ou quelque chose à partager. Ils trouveront quelqu’un de disponible, de présent pour vous remplacer.
De cette manière, le trou que vous avez laissé dans le tissu social se refermera peu à peu. De nouveaux liens se créeront, de nouvelles habitudes se mettront en place et cette place vide qui était la vôtre disparaitra peu à peu.
De cette manière, vous serez libéré, comme un fil décousu qui flotte au gré du vent.

...pour réapparaitre.


Vous deviendrez la personne que l’on croise. Tu as des nouvelles de ? Oui je l’ai croisé. Personne ne se posera vraiment la question puisque chacun sa vie après tout. Vous serez libre d’aller et venir à votre guise, apparaitre dans la vie de quelqu’un, donner, prendre, échanger puis disparaitre avant que ces échanges ne se transforment en habitudes, qu’ils ne deviennent convenus, normaux, sans surprises. Avant d’être happé à nouveau par la toile d’araignée qu’est le tissu social.
Vous pourrez observer le monde de loin tout en suivant votre propre chemin. Personne ne sait vraiment qui vous êtes, ce que vous voulez ou de quoi vous êtes capable. Mais ce n’est pas grave parce que s’il y a une chose que la solitude vous a appris, c’est à vous connaitre.
Vu de l’extérieur, cette vie pourrait paraitre vide, sans intérêt, solitaire. Mais ce n’est pas une vie.
C’est une multitude de vies, réinventées, recréées à chaque fois, libérées du fardeau des attentes, des préjugés, des images imposées.
C’est autant de nouvelles chances, de nouveaux essais et de nouveaux projets, d’expériences qui se superposent et participent à l’enrichissement de la suivante.
C’est une suite de nettoyages par le vide, de « on efface tout et on recommence ».
C’est un tour du monde, une foule de décollages et d’atterrissages dans tout un tas de pays exotiques.
C’est une vie pleinement vécue.


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jeudi 20 juin 2013

Chanson d'amour ???



Je m’en souviens comme si c’était hier,
Le premier soir je t’ai payé un verre
Puis un autre et encore un autre,
Trois jour après, un repas chez Lenôtre
On est allés en boite, on a pris une bouteille
Depuis ce jour ma vie n’est plus du tout pareille.
Car j’ai ouvert pour toi un compte illimité
Pris crédit pour t’offrir la vie dont tu rêvais
Pour le meilleur et le pire, je te financerais
Jusqu’à la fin des temps, je serais ton banquier.
Mon portefeuille pour toi sera toujours ouvert
Je remplirais tes poches de mes billets verts.
A la sueur de mon front, j’épongerais tes dettes
Sans aucune condition, t’offrirais mes recettes.
Dépenserait sans compter, et passerait sans broncher
Chacun de tes caprices.
Et notre compte commun sera toujours rempli.
Tu seras seul détentrice de la carte de crédit.
De tes paires de chaussures à tes nombreuses voitures,
En passant par des coffres de lingeries à dentelle
Je te ferais un prêt libre et  inconditionnel
Je n’attendrais de toi aucun remboursement
Les cordons de ma bourse sont sous ton commandement
Et même si l’âge finira bien par nous rattraper,
Tu auras quoiqu’il arrive des sous à dépenser,
Je paierais les factures des meilleurs chirurgiens
Pour ta liposuccion, ta nouvelle paire de seins.
Des litres de botox et un nouveau dentier
Quand on en pourra plus, quand ce sera terminé,
On fera des enfants, qui devront rembourser. Licence Creative Commons
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mardi 11 juin 2013

Vive les traditions...



8 ans.


_José ! Tu vas rater ton bus, t’es prêt ?
_Oui Maman, j’arrive !
_Tu t’es lavé les dents ?
_Oui !
_ T’as pris ton goûter ?
_ Oui !
_ Tu t’es mis une bonne grosse gifle ?
_ Non, mais j’aime pas, et pis à quoi ça sert ?
_ Discutes pas, se mettre une grosse gifle bien cinglante tous les matins, ça aide à grandir et ça rend intelligent.
_ Mais ça fait mal !
_ Je veux pas le savoir, tout le monde le fait. Tu veux que tes petits camarades deviennent grands et intelligents pendant que toi , tu seras petit et bête ? Tout ça parce que tu n’aimais pas te mettre une bonne gifle le matin ? Allez dépêches toi, tu vas rater ton bus. Et sinon c’est moi qui te la mets, t’es assez grand maintenant pour te mettre une claque tout seul !
_Bon d’accord…

17 ans.


_Salut José, la forme ?
_ Ben mieux que toi apparemment. Qu’est-ce qui t’arrives ?
_De quoi ?
_Tu saignes de la lèvre.
_Ah, ça ? C’est rien, j’étais un peu pressé ce matin, je me suis habillé en vitesse et j’ai oublié de poser mon livre de maths avant de me mettre une gifle.
_Ah ouais, t’es quand même un peu con. C’est pas censé rendre plus intelligent normalement ? J’ ai jamais compris à quoi ça servait tout ça.
_Moi non plus. Mais tout le monde le fait et puis faut avouer que ça réveille quand même. Le matin, il faut pas me parler tant que je me suis pas mis une grosse baffe.
_Peut-être mais c’est douloureux, quand même. Je suis pas sûr que ça en vaille la peine.
_ Si nos grands-parents et nos parents le faisaient avant nous, il doit bien y avoir une raison. C’est la sagesse des anciens.

24 ans.


_Mmmmh, José ?
_Ouais Katie, qu’est-ce qu’il y a ?
_Je voulais juste te parler d’un truc…
_Holà, ça fait peur quand tu commences une conversation comme ça.
_Non, non rien de grave. Je me demandais juste…Ca fait plusieurs fois que je dors chez toi, et j’ai remarqué que tu ne te mettais jamais une bonne grosse gifle le matin pour te réveiller.
_Ouais non, je trouve ça inutile et douloureux.
_ Ben oui mais l’hygiène ?
_ Qu’est-ce l’hygiène a à voir là-dedans ?
_ La gifle fait circuler le sang, tout le monde sait ça, ça permet au cerveau de mieux s’irriguer. Plus la claque est forte et mieux on réfléchit.
_Ah bon ? Ca fait 4 ans que j’ai arrêté de me mettre des claques le matin et le seul changement que j’ai remarqué, c’est que je n’ai plus aucun douleur dans la mâchoire.
_ Mais c’est dangereux quand même. T’es la seule personne que je connais qui ne se met pas de gifle le matin. T’as demandé à un médecin ?
_ Non, je me suis dit que la douleur était un bon indicateur pour savoir si c’était bon pour moi ou non.
_ Mais voyons, si tout le monde le fait, c’est qu’il y a une raison ! Tu te crois plus intelligent que les autres ? C’est ça ? Tu crois que t’as tout compris ?
_ Non, mais pourquoi ça t’embêtes tant que ça ?
_ Ca fait des années que je me mets des claques tous les matins, et t’es en train de me soutenir que ça sert à rien. Tu veux dire que je suis une idiote ? On est tous des abrutis qui prenons plaisir à nous claquer la tronche le matin ?
_ Mais non voyons, c’est juste une tradition et c’est difficile à changer. Tu as toujours fait comme ça, ça ne fait pas de toi quelqu’un de plus bête.

26 ans


_Qu’est-ce qu’il y a José, tu fais la gueule ?
_ Katie m’a quitté.
_Sérieux ? Comme ça ?
_Ouais.
_ Et elle t’a dit quoi ? Il y a quelqu’un d’autre ?
_Non, elle m’a juste dit qu’elle avait honte. Qu’elle ne supportait plus que je dise à tout le monde que la gifle matinale est inutile, que tous ses amis me trouvaient pédant et méprisant.
_Ben faut dire que t’y vas pas de main morte, si je puis me permettre.
_Mais attends, tu crois que c’est facile pour moi ? Tu crois que ça me fait plaisir de savoir que tout le monde se fait souffrir autour de moi ? Et que quoi que je dise, ils ne m’écouteront pas ? Tout ça à cause de cette stupide tradition ? Vous vous rendez même pas compte des justifications que vous vous trouvez…Tout ça parce que vous ne voulez pas admettre que vous avez peut-être tort…Que vous avez souffert pour rien… Mon grand-père a des calles sur les joues à force de se mettre des tartes ! Ma grand-mère est à moitié paralysée et mon père se lève un peu plus tôt tous les matins pour lui mettre une grosse claque. Et vous trouvez ça normal ! Tous !
_Et tu ne t’es jamais demandé si c’était peut-être toi qui n’étais pas normal ? 99,99% de la population fait quelque chose, toi, tu ne le fais pas. C’est toi qui n’est pas dans la norme.
_ Mais c’est ça qui est incroyable ! Oui je me suis posé la question. Je me suis remis en doute, moi. J’y ai réfléchi, j’ai pesé le pour et le contre. Et je n’ai trouvé aucun argument valable, aucune bonne raison pour me gifler tous les matins, donc j’ai arrêté.
_Et bien écoutes. C’est ton choix. Laisse les autres faire le leur.
_C’est ce que j’essaies de faire mais t’imagines pas à quel point c’est frustrant….
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lundi 1 avril 2013

Le coup de pied aux couilles mental



On a tous un certain pouvoir sur les gens autour de nous, sur notre environnement. On s’en sert tous les jours sans forcément en être conscients. L’objectif ici va donc être de vous rendre conscients de ce pouvoir et peut-être d’arriver à l’utiliser pour faire avancer les choses.
La base de ce pouvoir est la pression sociale. Ca fait appel au besoin de reconnaissance des gens en utilisant le système bien connu de la carotte et du bâton.
Par exemple, si à chaque fois que vous faites quelque chose comme mettre les doigts dans votre nez, la personne la plus proche de vous vous met un coup de pied dans les couilles, il y a de fortes chances pour que vous arrêtiez rapidement de mettre vos doigts dans votre nez en public.
Alors bien sûr, l’agression physique est interdite par la loi et le coup de pied dans les couilles lui-même se trouve être sujet au principe du bâton, ce qui fait qu’on réfléchit toujours un peu avant de le pratiquer.
Mais beaucoup pratiquent, souvent sans s’en rendre compte, le coup de pied dans les couilles mental. Ca a rien à voir avec une technique de Jedi, il suffit simplement de juger ou de se moquer ouvertement des gens.
J’invente rien, ça existe déjà, il s’agirait juste de le faire consciemment et pour les choses essentielles. Je ne nie pas l’intérêt à pousser au suicide tous ces horribles individus qui portent des chaussettes avec leurs sandales ou ceux qui mettent des néons sous leur voiture mais il y a peut-être moyen d’utiliser ça pour des causes plus importantes.
Pour faire une étude de cas, j’ai donc choisi  ceux qui jettent leurs papiers ou leurs mégots n’importe où.
Avertissement : Il se peut que, me connaissant, nous ayons déjà eu une conversation sur le sujet et que vous vous reconnaissiez dans les excuses pourries que je risque de mentionner plus bas.
Il est important de se conditionner soi-même par rapport à ces gens. Il faut que, lorsque vous êtes témoins d’un pareil acte de barbarie, les insultes se déversent naturellement de votre bouche poussées par une émotion violente.
Laissez-moi donc peindre un petit portrait du genre de personne qui se livre à ces atrocités. Il s’agit de créer une image bien vivace dans votre esprit, qui permettra à la fois d’encourager les lecteurs à mépriser ces individus et d’enlever toute envie au coupable de s’identifier à cette image.
Oui, c’est de la manipulation comme on n’en voit qu’à la télé pour les guerres et autres. Mesdames et messieurs, fabriquons nous un bon gros préjugé :
La personne qui jette ses papiers ou ses emballages par la fenêtre de la voiture, dans la rue ou dans la nature est une personne vile. Sachez-le, ces gens là ne respectent rien. Ils ne se soucient que de leur petite personne et partent du principe que les autres sont là pour les servir. La poubelle n’existe que pour que quelqu’un d’autre ramasse leurs déchets et les mettent dedans.
A chaque fois qu’ils laissent échapper une bouteille en plastique, un emballage Mc Do ou un papier de Twix, ils jubilent intérieurement. Si vous les observez attentivement, vous pourrez voir leurs yeux briller à la pensée qu’un autre ( de préférence un vieil homme au dos brisé ou une femme enceinte ) devra se baisser pour ramasser leur déchet et parcourir les quelques mètres qui les séparent de la poubelle.
On pourrait, au premier abord, se dire qu’ils n’ont pas fait exprès, qu’une crampe soudaine les a poussé à lâcher le papier qu’ils tenaient. C’est faux. La seule raison pour laquelle ils ont acheté ce paquet de biscuits, c’est pour pouvoir le laisser en pleine nature et éprouver cette sensation à la limite de l’excitation sexuelle qui les envahit à chaque fois. En forêt, seuls, ils oublient généralement toute pudeur et ne gêne pas pour pousser de petits cris de plaisir.
Ils éduqueront leurs enfants de la même manière, leur inculquant le mépris de la nature et de la propreté. D’ailleurs si d’aventure vous suiviez l’un d’entre eux jusqu’à son domicile, vous verriez qu’ils habitent souvent dans une véritable porcherie. Dans le confort de leur habitat, ils se laissent aller à leur vice sans aucun retenue. Leur logis ressemble à un dépotoir, le sol jonché de détritus, parcouru par les rats qui se battent sans pitié pour récupérer les vestiges de nourriture collés sur les emballages.
Ils vous considèrent comme une sous-race d’animaux dociles et asservis, vous méprisent et ne se retiennent qu’à grand peine de hurler à votre visage : « Ramasse ! » quand ils laissent échapper leur déchet.

Voilà, vous savez maintenant la vérité. Gardez bien cette image en tête car elle vous sera utile pour conjurer la colère nécessaire à une bonne réprimande, à l’envoi d’un bon coup de pied aux couilles mental.
Je fais ensuite confiance à votre imagination pour mettre au point la réaction appropriée. Je me permettrais juste de vous suggérer quelques approches possibles :
_Ramasse ça, espèce de gros porc !
_Tu vois, cette personne n’a pas eu la chance d’avoir des parents présents pour faire son éducation. ( A dire bien fort à la personne qui est avec vous, de préférence votre enfant pour faire d’une pierre deux coups )
_ Ah ben vous, vous devez être banquier !
_Monsieur, vous avez laissé tomber quelque chose !
Le conditionnement ne sera efficace que grâce à la répétition, aussi je compte sur vous pour exercer cette pression sociale à chaque fois que l’occasion se présente.
Nous pouvons changer le monde, un coup de pied aux couilles mental à la fois !
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